LES INVISIBLES, TRAVAUX D'AMATEUR·TRICES

Des métiers d’art aux arts plastiques, découvrez à la MPAA/Broussais, la première partie de l’exposition des travaux des élèves de Paris-Ateliers !

Répondant à l’invitation de la MPAA, dans le cadre de sa saison Les Invisibles, les inscrit·e·s de Paris-Ateliers se sont massivement inspiré·e·s de ce thème pour créer près de 400 « travaux d’amateurs·trices » qui seront exposés à la MPAA/Broussais du 31 mars au 20 avril et à la MPAA/Bréguet du 7 au 24 avril.

Exposition Jeudi 30 mars › Lundi 24 avril 2023
Exposition Jeudi 30 mars › Lundi 24 avril 2023

LES INVISIBLES, TRAVAUX D'AMATEUR·TRICES

Image
© Nicolas Lascourrèges

Proposant une pratique d’excellence à près de 5 000 amateurs·trices dans le domaine des Métiers d’art et des Arts plastiques qui s’y rapportent, avec près de 560 cours hebdomadaires dans plus d’une centaine de disciplines, Paris-Ateliers a pour objet d’offrir à tous, débutant·e·s ou initié·e·s, parisien·ne·s ou non, la possibilité d’accéder à l’expérience pratique de savoir-faire et de techniques d’exception, tout en participant à leur préservation par la transmission de quelque 170 artistes et artisan·e·s d’art professionnel·le·s.

Paris Ateliers favorise ainsi le brassage des identités, la croisée des parcours, le dialogue entre les générations.

Paris-Ateliers permet surtout au quotidien d’offrir à une nuée d’invisibles la possibilité de prendre la parole et de s’exprimer par les arts.

Grâce au soutien de la MPAA, ces deux expositions sont l’occasion, de mettre en lumière les travaux rarement montrés des amateurs·trices qui, tout au long de l’année, fréquentent les ateliers de Paris-Ateliers. 

Les invisibles

Qu’est-ce que l’invisible ? Peut-être ce qui nous fonde intimement sans que cela soit perceptible. Comment révéler et prendre en considération les émotions qui nous traversent, notre histoire et nos traditions, nos mémoires individuelles et collectives ? Comment mettre en partage, en dialogue nos différences et nos affinités dans ce qu’elles racontent de nous, des autres, de notre société ?

Alors il y a des INVISIBLES, nombreux.

Et puis des Invisibilisé·e·s, celles et ceux qui ne rentrent pas dans les cases, qui parlent trop et surtout pas assez, qu’on ne voit pas, qui s’effacent ou sont effacé·e·s.

Partenaire(s)

© christophe Brault